Le choix du thème d’un projet de modélisme ferroviaire

Cet article est le premier d’une longue série qui va avoir pour objet la description de la réalisation d’un réseau de modélisme ferroviaire de A à Z. Où cela va-t-il nous mener ? Nous ne le savons pas totalement encore mais nous avons suffisamment d’idées, de projets et de matière pour démarrer cette nouvelle rubrique.

Une des premières questions qui se pose à chacun est le choix du thème du projet. À vrai dire, cette question doit être concomitante à d’autres : De quelle place je dispose ? De quels moyens je dispose ? Quels sont mes savoir-faire et quels sont ceux qu’il me faut acquérir ? Quel temps ai-je à consacrer à ce projet ? Dois je me fixer une échéance de fin ? Est-ce que je veux voir de longues rames circuler ? Est-ce que je veux « jouer » au train ? Est-ce que je veux réaliser des manœuvres ? Est-ce que je veux un pilotage automatique de mes trains sans intervention ? etc.

Nous n’aurons pas la prétention de répondre point par point à toutes ces questions, d’autant plus que certaines sont très personnelles et sont à envisager par chacun . Plutôt que de réponses exhaustives, il va plutôt s’agir de proposer un cadre de réflexion que chacun pourra utiliser lorsqu’il envisagera de démarrer un projet de modélisme ferroviaire. Les revues de modélisme ferroviaire publient régulièrement des propositions que nous vous invitons par ailleurs à consulter, elles sont régulièrement de bon conseil.

Une tranchée ferroviaire peut être un beau sujet permettant de montrer à la fois du matériel ferroviaire varié et un décor urbain. Sur ce projet en cours, on peut distinguer les murs et les bâtiments qui sont patinés et ceux qui ne le sont pas encore. Ce projet ne fait que 40  cms de large et sera tout à fait adapté le long d’un mur si vous ne disposez pas de beaucoup de place. Les bâtiments en surplomb de la voie donnent de l’ampleur à ce projet : travailler en hauteur peut être une alternative au manque de surface !

C’est probablement un point central et liminaire à toute réflexion relative à un projet de modélisme ferroviaire : essayer de contenir sa passion pour concevoir un projet raisonnable. La plupart d’entre nous envisage de démarrer leur projet avec les yeux pleins des beaux et grands réseaux qu’ils ont admirés dans des expositions, dans des clubs ou dans des revues. C’est bien entendu tout à fait légitime et il n’y a guère de projet sans cet émerveillement initial. C’est pourtant un piège dans lequel il faut éviter de tomber. De telles ambitions n’aboutissent guère et de tels projets quand ils arrivent à leur terme sont souvent le fruit d’une collaboration en club ou le résultat d’un projet mûrement pensé, planifié et réalisé sur de nombreuses années.

Nous vous recommandons ainsi d’être raisonnable, ce qui ne veut pas forcément dire d’abandonner totalement l’idée de projets ambitieux. La conception modulaire (adjonction de modules qui peuvent s’interconnecter) permet souvent d’étager la progression de son réseau, qui, à partir d’un petit module, devient par la suite un projet aux multiples possibilités.

Le temps, le coût, la place disponible : des questions à se poser en début de projet

La place disponible

La question de la place disponible est peut-être la première question qu’il faut se poser. Si vous rêvez de voir circuler de belles rames de TGV, il faut immédiatement vous poser la question de la longueur de la rame à l’échelle de réduction et de la taille nécessaire pour qu’un tel réseau avec de telles circulations puisse être réaliste : il vous faudra au minimum plusieurs mètres ! La place disponible induit  d’autres questions : Est-ce que je dispose d’une place fixe dédiée à mon projet ou devrais je le ranger en fin de séance ? Dans ce dernier cas, il faudra intégrer le fait que le projet devra être facilement transportable et prévu pour être stocké sans dommages. Si vous disposez d’une place dédiée à votre projet – dans l’idéal une pièce – il vous sera utile de la diviser en une partie atelier et en une partie réseau. Et si vous disposez d’une grande pièce (ce qui n’est pas au final le cas le plus fréquent parmi les modélistes ferroviaires alors qu’il s’agit très souvent des réseaux auxquels nous rêvons tous et qui sont souvent mis en valeur), la réflexion autour de la progressivité de votre projet doit rester entière. Autrement dit, il vous faudra envisager votre réseau final comme une somme de projets plus modestes pouvant être réunis entre eux.

La question du coût

La question – légitime – du coût du modélisme ferroviaire fait florès depuis des décennies et s’est accrue ces dernières années. Nous avons déjà abordé ces questions à plusieurs reprises – elles reviennent aussi régulièrement dans les commentaires de nos abonnés – et nous voudrions à nouveau affirmer que ce qui coûte cher, c’est avant tout des ambitions de projets démesurés avec des technologies et du matériel dernier cri. Ainsi, il est tout à fait possible de réaliser de beaux projets de modélisme ferroviaire avec du matériel un peu plus ancien, avec du matériel d’occasion (que la démographie des modélistes ferroviaires rend de plus en plus abondant), en réalisant beaucoup d’éléments de décor par soi-même (lire l’article sur le miséramodélisme et plus globalement nos différents articles de blogs dans la rubrique trucs et astuces) et en se limitant à un thème et à une époque  en particulier sur lesquels vos efforts porteront.

La question du temps

Faire par soi-même renvoie partiellement à la dernière question qui est celle de votre temps disponible et de l’éventuelle butée que vous vous êtes fixée pour terminer votre projet.

Evoquer une éventuelle butée peut sembler incongrue. À juste titre, beaucoup parmi nous envisagent le modélisme ferroviaire comme un loisir ludique détaché de toute pression et de toute contrainte temporelle. C’est même pour certains une alternative à un monde particulièrement bousculé. Mais c’est aussi le risque de ne jamais terminer… Se fixer quelques butées temporelles dans la progression de son projet peut être de nature à encourager à atteindre la cible finale. Que votre projet soit un projet de quelques semaines, de quelques mois, ou de plusieurs années, il peut être profitable de vous fixer des cibles et des « temps de passage ».

Enfin, pour ce qui concerne le temps disponible, rares sont les modélistes qui peuvent consacrer l’intégralité de leur temps libre à leur passion, et il est d’ailleurs sain et revigorant de faire autre chose. Nous vous invitons à organiser vos séances de modélisme par séquences de temps disponibles : que puis-je faire si j’ai une heure de disponible ? Si je dispose de plusieurs heures consécutives, d’un week-end entier, voire de plusieurs jours consécutifs ? Une telle segmentation vous permettra de planifier et d’affecter les différentes tâches de votre projet en fonction de cette typologie de temps disponible. Une des raisons de cette proposition réside dans le risque de se limiter à faire du modélisme dans les seuls créneaux de plusieurs heures ou de plusieurs jours (pas toujours si fréquents pour chacun d’entre nous), au risque de perdre la motivation et le fil de son projet. Ainsi, prévoir de petites réalisations pouvant être réalisées durant de courtes séquences, permet de garder la flamme.

Ces photos illustrent quelques petits projets de modélisme pouvant être réalisés durant de courtes séquences sur un coin de table.

En revanche, le ballastage d’une voie ferrée ou la réalisation d’un petit chemin afférent demanderont des séquences de travail plus longues. Il est profitable d’organiser son projet de modélisme en intégrant ces variables temporelles.

Les savoir-faire

Un loisir aux compétences multiples

Dès que l’on sort de son circuit de train jouet, on entre dans le modélisme ferroviaire. Cette frontière franchie, la champ des possibilités est infini et chaque étape est le lieu d’un apprentissage de nouvelles compétences.

Le modélisme ferroviaire : un loisir ludique

C’est là un point commun avec quelques autres loisirs techniques : un réseau de trains miniatures est un réseau animé (même sur un petit diorama, il est possible de créer des animations). Le mouvement est un élément de fond discriminant par rapport au modélisme statique. Et la plupart des modélistes ferroviaires ont commencé par un ovale de voie avec un train qui y circule. L’évolution du modélisme ferroviaire a conduit à rendre plus réaliste ces circulations, jusqu’à tenter d’y reproduire des exploitations aux horaires réels. Mais il est très possible de trouver son plaisir dans l’animation d’un petit embranchement particulier (EP) autour par exemple d’un dépôt de charbons, d’une distillerie ou  d’un petit atelier quelconque. Le mouvement est une caractéristique historique du modélisme ferroviaire ; la reproduction de scènes réalistes une tendance plus récente de ces quelques dernières décennies.

Le modélisme ferroviaire : un loisir technique

C’est probablement le point qui différencie le plus le modélisme ferroviaire des autres formes de modélisme : la variété des technologies requises, variété qui s’est de plus encore complexifiée depuis une quarantaine d’années avec l’émergence des commandes numériques. Mais même sans le recours aux technologies numériques, il faut tout de même des connaissances minimales en électricité, en électronique, en micro-mécanique, etc. Et les technologies numériques requièrent des connaissances ou l’apprentissage de bases de programmation, certes réduites (?) mais qui peuvent constituer un frein pour ceux et celles qui n’y ont jamais été confrontées.

Mais il faut aussi des connaissances robustes dans les différentes techniques de modélisme (que nous essayons de partager régulièrement dans la rubrique de notre blog « trucs et astuces« ) et au delà dans la construction d’une infrastructure pouvant supporter votre projet de réseau : menuiserie, alimentation électrique, éclairage, etc.

Cette variété des compétences à maitriser est une particularité essentielle du modélisme ferroviaire.

Le modélisme ferroviaire : un loisir artistique

Le champ créatif  a connu un développement important depuis ces trois dernières décennies. Il inclut toutes les productions autour du modélisme d’atmosphère ; nous citerons ainsi à nouveau son précurseur, Jacques Le Plat mais ses disciples sont nombreux et constituent une tendance robuste du modélisme ferroviaire. Mais il inclut aussi d’autres développements où l’aspect artistique prend une place particulièrement importante, nous citerons à cet égard deux auteurs (car ils ne sont plus seulement modélistes) : Marcel Ackle et Emmanuel Nouaillier (ce dernier ayant d’ailleurs totalement investi le champ de l’art).

Notre point de vue pourra faire débat mais nous croyons fortement à la dimension artistique du modélisme ferroviaire. Nombre de modélistes ferroviaires créent leur monde – on peut y voir parfois une forme de rupture avec la reproduction de scènes ultra réalistes (un lieu et une époque en particulier par exemple) – et ils sont une source d’inspiration à ne pas négliger.

Les dioramas : une étape qui peut être utile dans l'apprentissage des savoir-faire

Cette préconisation pourra aussi faire débat mais la réalisation de dioramas constitue une étape utile entre la construction de maquettes isolés et la réalisation de réseaux finalisés. Certes, le diorama est pour la plupart du temps statique et il y manque le sujet essentiel d’une circulation ferroviaire. Mais le diorama permet d’appréhender les différentes techniques du modélisme, de faire l’apprentissage de volumes et de surfaces réalistes, d’intégrer différents éléments de décors dans un ensemble cohérent, de travailler la pertinence de petites mises en scène, etc.

Cet autre diorama a pour sujet un terrain de pétanque dont la réalisation vous a été décrit dans le détail dans cet article.

Ce projet a permis parmi d’autres sujets de réfléchir à la question de la réduction d’une surface réelle à l’échelle HO, de travailler la réalisation des sols, des murs et des trottoirs. La mise en scène des figurines a aussi été particulièrement travaillée.

Ce diorama a permis d’illustrer un article sur la patine des façades, un autre article sur la fabrication d’un tas de gravats ou encore cet article sur la réalisation d’une palissade. Il vous est présenté ici dans sa globalité. Différentes techniques de modélisme ont été utilisées telles que le travail des profilés styrène (la palissade), des pâtes polymères (la route pavée), de la carte plastique (les petites constructions) ou des feuilles métalliques (vieux bidons).

Ce projet au sujet un peu différent a pourtant posé des questions assez similaires au diorama « boulistes » !.

Ces deux dioramas ont permis de travailler le carton plume et le carton bois issu de la découpe laser.

Le diorama peut être considéré de notre point de vue comme une première étape vers une conception modulaire. Il peut être par exemple judicieux de concevoir ces petits dioramas de telle façon qu’ils viennent s’intégrer dans un projet plus vaste pas totalement défini ou abouti.

Le sujet central : le choix du thème de votre projet de modélisme ferroviaire

Une segmentation arbitraire

 Nous avons parfaitement conscience  des limites de notre exercice qui, dans tous les cas, ne présente aucune ambition d’exhaustivité. Nous avons fait le choix d’organiser nos segments à partir de la place dont vous pourriez disposer. En effet, outre le temps (et l’argent) que vous pouvez consacrer à votre projet, la surface à votre disposition est bien entendu un critère essentiel.

Nous avons ainsi distingué trois cas (tout à fait arbitraires…) :

  • des projets sur une surface correspondant plus ou moins à une étagère, entre 30 et 50 cms de largeur et de l’ordre de 80 à 100 cms de longueur,
  • des projets sur une surface correspondant à une longueur de mur. Dans ce cas, la largeur n’est pas très différente du cas précédent mais la longueur peut atteindre 2 ou 3 mètres,
  • Enfin, des projets nécessitant une pièce dédiée à part entière (les projets qui font rêver chacun d’entre nous…).

Le choix de l'échelle

Nous n’avons pas voulu introduire trop tôt cette question dans l’article mais la question de l’échelle de réduction sera une question sur laquelle il faudra vous pencher tôt ou tard. Certes l’échelle HO ou 1/87 est très majoritaire dans la pratique de notre loisir mais on peut aussi citer l’échelle N ((1/160) ou O (1/43.5 et 1/45). Ces trois échelles présentent l’avantage de proposer du matériel ferroviaire français, avec néanmoins de grandes disparités : l’échelle HO présentant la plus grande variété. D’autres échelles existent – l’échelle TT par exemple (1/120) ou Z (1/220) – mais on y trouve peu de matériel français.

Bien entendu plus l’échelle de réduction est importante est moins il est possible de soigner les détails. En revanche, il y est plus facile de présenter de grandes rames et des infrastructures importantes. Nous revenons donc au choix du thème qui est central. 

Les projets "étagère"

Dans cette catégorie, les infrastructures représentées seront bien entendu moins vastes mais c’est aussi un périmètre où il est possible de travailler beaucoup de détails. Ainsi si vous manquez de place et que vous aimez travaillez sur de petites scènes, ce type de projet peut vous séduire. Par exemple :

  •  une petite gare à voie unique avec des installations minimales,
  • un quai de déchargement d’une entreprise, voire d’un bateau,
  • une portion de voie de banlieue ou une entrée de village en zone rurale,
  • etc.

Les projets "muraux"

Il est bien entendu possible dans ce cadre de présenter des projets plus ambitieux :

  • un projet de petit dépôt avec une remise ou un atelier d’entretien avec deux ou trois travées,
  • une tranchée en double voie avec un alignement d’immeubles en surplomb en fond de décor,
  • un embranchement particulier (EP) vers une entreprise quelconque  : scierie, menuiserie, charbonnier, etc.
  • une petite gare terminus avec un système de retournement ou de transbordement,
  • une ligne de tramway en zone urbaine si vous aimez les décors urbains,
  • un tronçon de ligne de montagne avec des rochers en fond de décor,
  • une gare de campagne avec un trafic mixte marchandises et voyageurs permettant de réaliser des manoeuvres,
  • etc.

Les projets dédiés à une pièce

Ces projets permettent bien entendu de construire des réseaux d’ampleur, avec toutes les réserves que nous avons évoquées dans l’article :

  • un grand dépôt vapeur ou diesel permettant une exploitation réelle,
  • Une grande gare terminus à plusieurs voies,
  • Une grande gare de passage (attention néanmoins à la longueur des quais),
  • un réseau évoquant un trajet entre deux gares de petite ou moyenne importance,
  • un centre de tri,
  • etc.

Quelques idées parmi d’autres pour vous aider à faire le tri et à fixer vos priorités. Deux idées générales pour terminer, quitte à être simpliste :

  • si vous aimez travailler les détails, la précision, les micro scènes, choisissez plutôt un projet de taille plus modeste ;
  • si en revanche, vous aimez les grandes circulations au détriment parfois des détails (et que vous pouvez y consacrer la place requise), vous pouvez vous lancer dans un projet plus ambitieux.

Les meilleurs modélistes tiennent les deux fers au feu mais c’est souvent le travail de toute une vie…

Eléments de conclusion

Il est quasi impossible de conclure un sujet aussi vaste d’autant plus que cet article ouvre le champ à une série d’autres articles.

Peut-être pourrions-nous néanmoins insister à nouveau sur quelques points. 

Au risque de nous répéter, ne voyez pas trop grand de suite et ravaler vos ambitions de grand réseau. Concevez en revanche des projets plus modestes qui pourront être agrandis par la suite.

Il est essentiel ensuite de considérer avec attention au départ de votre projet le tryptique « place, temps et moyens (pécuniers) » disponibles pour votre projet. La place et les moyens sont souvent évoqués par les modélistes et beaucoup moins le temps et son utilisation optimale. Comme nous l’avons évoqué dans l’article, un inventaire des tâches – même incomplet – à réaliser associé aux créneaux disponibles peut être de nature à ne pas caler en cours de projet. Pour garder la flamme, il vaut mieux réaliser de petites séquences régulièrement que de grandes séquences de temps en temps (c’est un peu comme la pratique du sport ou de la musique…).

Enfin, le dernier point que nous voudrions évoquer est la combinaison subtile entre un cadre de projet clairement défini (un EP, une gare de campagne, une portion de voie unique, etc. sur une époque bien identifiée) et des marges de manœuvres que vous devez vous laisser en cours de projet. Votre projet va être structuré par le positionnement des voies ferroviaires mais la réalisation de leurs environnements peut être beaucoup plus souple, dans le respect de l’époque et du thème choisi bien entendu. Nous allons tenter d’illustrer notre propos par quelques exemples. Supposons que vous souhaitiez réaliser une tranchée ferroviaire avec quelques immeubles la surplombant. Vous n’avez aucune obligation de décider de la nature et du style de vos immeubles en début de projet. Il est en revanche louable de déterminer assez vite la surface qui leur sera dédiée ce qui vous permettra de faire des tests et de construire vos immeubles à part pour pouvoir les installer plus tard. Supposons un petit bout de voie ferrée de campagne ou de banlieue urbaine, vous pouvez construire à part des bouts de jardins, des arrière-cours ou autres et vous laisser quelques surfaces ouvertes que vous remplirez tôt ou tard avec une idée nouvelle. Tout cela pour dire que concevoir un réseau de trains miniatures ne consiste pas à tout décider de suite, avec une réserve importante néanmoins… Comme lorsque l’on conçoit un bâtiment, il faut penser très en amont au passage des fluides qui se limite pour l’essentiel dans notre loisir à l’alimentation et à la commande de votre réseau. Difficile de manœuvrer une aiguille ou un signal sans sa commande et le câblage afférent. Cette réserve d’importance mise à part, restez libre et souple pour la réalisation de vos décors…

Merci de votre lecture, laissez-nous un commentaire si le coeur vous en dit et à bientôt…

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